Il est raisonnable de constater que nous avons tous beaucoup appris sur nous-mêmes lors de la COVID-19. Beaucoup d'entre nous s'ennuient de nos collègues et de nos amis au bureau, mais les déplacements dans le trafic ne nous manquent certainement pas. Certains d'entre nous ont réalisé que nous dépensions beaucoup trop d’argent en cafés et en dîners pour emporter. Des parents reconnaissent maintenant à quel point les éducateurs de garderie et les professeurs d’école sont de véritables héros.
Alors que cette grande expérience commune nous a été imposée en raison d'une pandémie mondiale, FHR a régulièrement sondé ses employés aux quatre coins du pays pour savoir comment chacun d'entre eux s'adapte à leur nouvelle réalité. Récemment, nous soulevons la question du retour au bureau.
Sans surprise, nos employés ont exprimé un désir de continuer à travailler de la maison. Nous voulons tous rester en bonne santé et en sécurité pendant la pandémie, mais en tant qu'entreprise, il semble que nous avons également réussi à intégrer la vie professionnelle et de la vie privée (plus de temps pour la famille et les loisirs, moins de temps perdu en transport, etc).
Autrement dit, nous n'avons constaté aucune baisse de productivité. L'entreprise roule bien et notre équipe continue de répondre aux besoins de nos nombreux clients avec le même niveau d'énergie, d'effort et d'expertise qu'elle a toujours eue.
J'en ai parlé récemment à une amie proche et elle a suggéré que la nature de notre travail nous avait peut-être bien préparés à la pandémie. En tant que communicateurs innés, notre équipe savait déjà exactement comment entretenir ces « nouvelles » relations virtuelles avec nos clients, les médias, les influenceurs et nos partenaires.
Par ailleurs, nos quatre bureaux de Toronto, Ottawa, Montréal et Vancouver utilisent depuis longtemps une large gamme d'outils de vidéoconférence et de collaboration pour travailler ensemble à distance tout en bénéficiant de l'expertise mondiale du réseau FleishmanHillard, qui compte 85 bureaux dans plus de 30 pays.
Alors, oui, on pourrait dire que nous étions prêts à relever au défi. Quoi qu'il en soit, je suis fière de nos employés qui se sont réunis en temps de crise et ont trouvé des solutions flexibles qui conviennent autant à notre famille FHR et qu’à la leur.
Ce niveau de performance inattendu nous a incités à examiner si le télétravail pourrait façonner l'avenir de notre entreprise. Pour le savoir, nous lançons un projet pilote qui permettra à nos employés d'Ottawa de travailler de la maison. Notre bail dans la capitale nationale expirant bientôt, il s'agissait du temps parfait pour nous éloigner des opérations centrées au bureau.
Notre équipe à Ottawa est un mélange éclectique : des experts en affaires publiques qui suivent le mouvement du gouvernement, des professionnels numériques et sociaux, une équipe de création qualifiée, et même notre directrice des opérations, Katherine Fletcher, membre fondatrice de la pratique numérique de FHR.
Avec l'aide d’outils de collaboration numérique, d’activités en équipe adaptées et d’une rémunération pour que les bureaux à domicile soient aussi ergonomiques, confortables et productifs que possible, nous nous attendons à ce que les talents de notre bureau virtuel d'Ottawa continuent à prospérer.
Parallèlement, nous allons également adopter le télétravail dans nos autres bureaux au Canada jusqu'à ce que nos employés soient prêts et souhaitent retourner au bureau. Dans cet esprit, nous étendons notre « présence » au Canada pour inclure également l'Alberta et la Nouvelle-Écosse ; après tout, est-ce le bureau physique ou l’emplacement de vos collaborateurs qui importe le plus? En agence, nous n'avons jamais eu l'habitude de rester immobiles, alors plutôt que d'attendre un retour à la normale (qui pourrait ne jamais se produire), nous sommes enthousiastes à l'idée de profiter de cette expérience et de définir l’avenir de notre travail. Au cours des prochains mois, notre équipe d'Ottawa s'engage à partager son expérience afin que nous puissions apprendre de celle-ci et décider comment nos autres marchés s’adapteront.
Il est raisonnable de constater que nous avons tous beaucoup appris sur nous-mêmes lors de la COVID-19. Beaucoup d'entre nous s'ennuient de nos collègues et de nos amis au bureau, mais les déplacements dans le trafic ne nous manquent certainement pas. Certains d'entre nous ont réalisé que nous dépensions beaucoup trop d’argent en cafés et en dîners pour emporter. Des parents reconnaissent maintenant à quel point les éducateurs de garderie et les professeurs d’école sont de véritables héros.
Alors que cette grande expérience commune nous a été imposée en raison d'une pandémie mondiale, FHR a régulièrement sondé ses employés aux quatre coins du pays pour savoir comment chacun d'entre eux s'adapte à leur nouvelle réalité. Récemment, nous soulevons la question du retour au bureau.
Sans surprise, nos employés ont exprimé un désir de continuer à travailler de la maison. Nous voulons tous rester en bonne santé et en sécurité pendant la pandémie, mais en tant qu'entreprise, il semble que nous avons également réussi à intégrer la vie professionnelle et de la vie privée (plus de temps pour la famille et les loisirs, moins de temps perdu en transport, etc).
Autrement dit, nous n'avons constaté aucune baisse de productivité. L'entreprise roule bien et notre équipe continue de répondre aux besoins de nos nombreux clients avec le même niveau d'énergie, d'effort et d'expertise qu'elle a toujours eue.
J'en ai parlé récemment à une amie proche et elle a suggéré que la nature de notre travail nous avait peut-être bien préparés à la pandémie. En tant que communicateurs innés, notre équipe savait déjà exactement comment entretenir ces « nouvelles » relations virtuelles avec nos clients, les médias, les influenceurs et nos partenaires.
Par ailleurs, nos quatre bureaux de Toronto, Ottawa, Montréal et Vancouver utilisent depuis longtemps une large gamme d'outils de vidéoconférence et de collaboration pour travailler ensemble à distance tout en bénéficiant de l'expertise mondiale du réseau FleishmanHillard, qui compte 85 bureaux dans plus de 30 pays.
Alors, oui, on pourrait dire que nous étions prêts à relever au défi. Quoi qu'il en soit, je suis fière de nos employés qui se sont réunis en temps de crise et ont trouvé des solutions flexibles qui conviennent autant à notre famille FHR et qu’à la leur.
Ce niveau de performance inattendu nous a incités à examiner si le télétravail pourrait façonner l'avenir de notre entreprise. Pour le savoir, nous lançons un projet pilote qui permettra à nos employés d'Ottawa de travailler de la maison. Notre bail dans la capitale nationale expirant bientôt, il s'agissait du temps parfait pour nous éloigner des opérations centrées au bureau.
Notre équipe à Ottawa est un mélange éclectique : des experts en affaires publiques qui suivent le mouvement du gouvernement, des professionnels numériques et sociaux, une équipe de création qualifiée, et même notre directrice des opérations, Katherine Fletcher, membre fondatrice de la pratique numérique de FHR.
Avec l'aide d’outils de collaboration numérique, d’activités en équipe adaptées et d’une rémunération pour que les bureaux à domicile soient aussi ergonomiques, confortables et productifs que possible, nous nous attendons à ce que les talents de notre bureau virtuel d'Ottawa continuent à prospérer.
Parallèlement, nous allons également adopter le télétravail dans nos autres bureaux au Canada jusqu'à ce que nos employés soient prêts et souhaitent retourner au bureau. Dans cet esprit, nous étendons notre « présence » au Canada pour inclure également l'Alberta et la Nouvelle-Écosse ; après tout, est-ce le bureau physique ou l’emplacement de vos collaborateurs qui importe le plus? En agence, nous n'avons jamais eu l'habitude de rester immobiles, alors plutôt que d'attendre un retour à la normale (qui pourrait ne jamais se produire), nous sommes enthousiastes à l'idée de profiter de cette expérience et de définir l’avenir de notre travail. Au cours des prochains mois, notre équipe d'Ottawa s'engage à partager son expérience afin que nous puissions apprendre de celle-ci et décider comment nos autres marchés s’adapteront.